Chorégraphie



SOIR. Chorégraphie d’éblouissements.
La splendeur écaille l’émail d’une lumière scarifiée.
L’horizon enlise la douleur.
Impression trop vaste pour le champ de l’humain.



SOIR. Quelque chose de sublime s’étire au-delà de son terme.
Quelque chose de divin s’effondre ou s’abrège.
C’est la mort en pleine innocence,
L’intime dans sa brûlure désespérée.


SOIR. La souffrance s’égrène par paliers de beauté.
Les noirs s’aggravent du martyre des rouges.

Le Monde plus n’aspire qu’au regard des étoiles.