La rosée des étoiles peu à peu calme le douloureux regard du ciel
Il fait si pur à présent
La nuit s’étale comme un cri muet
La poussière dégrafe son geste sans âge
Bonheur en paille
Miettes d’évidence
Poudreuse clarté des cycles éternels
Enfin cette douceur qui enveloppe ma tête vaporeuse
Mon souffle s’accorde à la respiration des sources
Un pur bonheur s’abreuve à l’ivresse du corps qui s’endort