Pâle rayon du soir où
Fragile de tant de douceur
Tu t’endors transparente
Mes regards pour seuls compliments embrassent ton visage
Rien de déchiffrable hormis ce souffle qui te résume
Comme la douleur étreint le souvenir
Comme la mort séduit la vie
Mon corps au tien s’emmêle
Plus fort que l’attente, le grand coeur de l’amour
Oserai-je l’impossible partage du temps ?
Tu es si belle à l’apogée de cet instant